Enquête sur l'utilisation d'ArcGIS à l'ULg (réponse attendue pour le 15/01/2012)
Comment réduire les montants engagés pour maintenir à jour les logiciels ESRI - ArcInfo, ArcGIS, ArcMap etc. ?
Après avoir rencontré les représentants de la firme SIGGIS (http://www.siggis.be/fr), nous avons obtenu une offre pour une « ESRI Education Site License » qui permettrait non seulement d’avoir la version 10 mais aussi beaucoup d’extensions (http://www.esri.com/industries/university/academic_programs/pdf/site-license-overview.pdf). De plus, le nombre de licences serait presque illimité en se connectant sur un serveur de licence virtuel. La seule restriction est que le nombre d’étudiants inscrits dans les départements utilisateurs ne soit pas supérieur à 2 500 personnes. Comme la KULeuven, l’ULg devrait parvenir à répondre à ce critère. Le coût annuel global serait alors de 10 000€ (HTVA). Chaque étudiant de ces départements, après avoir signé un engagement d’utilisation dans un cadre didactique, pourrait installer les softwares sur son ordinateur personnel pour une durée d’un an.
Afin d’introduire une demande motivée de prise en charge de cette redevance annuelle par le Conseil Scientifique de l’Informatique (CSI) http://www.ulg.ac.be/cms/c_18281/informatique-multimedia, il est nécessaire de faire une enquête sur la situation actuelle ainsi que sur les besoins en logiciels ESRI au sein de notre institution.
Les quatre tableaux de l'enquête sont disponibles sous forme d’un seul fichier Excel. N’hésitez pas à les dupliquer si nécessaire. Le premier sert à identifier l’utilisateur. Le tableau 2 permet de faire un état des lieux de l’utilisation actuelle des produits ESRI ainsi que d’identifier les différents dossiers. En effet, le paiement des maintenances actuelles pourrait être arrêté si nous obtenons une licence de site. Si par après, l’ULg ne renouvelait pas la licence de site, nous retrouverions alors la situation actuelle. Les questions relatives aux extensions sont dans le tableau 3 alors que le tableau 4 permettra de voir si une démarche similaire pourrait être faite pour d’autres logiciels.
Dans quelque temps, nous ne manquerons pas de vous contacter au sujet des logiciels « Open source » qui présentent aussi des solutions alternatives intéressantes.